Archives mensuelles : mai 2010

Interview : Jeremy Fain, Verteego, partenaire de l’exposition

Jeremy, pouvez-vous nous expliquer en quelques mots l’activité de Verteego ?
Verteego édite des applications de gestion environnementale à destination des entreprises et des collectivités. Notre vision est que les organisations vont d’ici peu, sous la pression de leurs parties prenantes, notamment leurs clients et concurrents, devoir piloter leur performance environnementale avec le même professionnalisme qu’elles gèrent déjà depuis des années leur performance financière. Pour ce faire, nous disposons de deux simples et très puissantes applications en ligne : l’une pour permettre aux entreprises de mesurer et suivre dans le temps leurs émissions de gaz à effet de serre, l’autre pour aider les industriels et distributeurs à assurer la traçabilité des substances chimiques préoccupantes présentes dans leur chaîne d’approvisionnement afin de se conformer à la réglementation REACH.
Globalement, Verteego aide les entreprises à se mettre en conformité, à se différencier de leurs concurrents pour conquérir de nouveaux marchés, et à réduire leurs coûts d’exploitation et leurs risques.

Verteego, ce sont des produits, mais aussi et surtout une équipe et des valeurs, parmi lesquelles l’innovation, le professionnalisme, et la conviction que pour construire une économie plus durable il faut changer les indicateurs d’évaluation de la performance, qui sur-pondèrent les profits immédiats à la qualité de la relation et la préservation des ressources naturelles. C’est bien sûr plus compliqué à dire qu’à faire, mais globalement l’on constate chaque jour que les critères Green et Sustainable prennent une importance accrue dans l’économie mondiale.

Pour quelles raisons soutenez-vous mon exposition ?
Pour mille raisons ! et en voici dans le désordre l’inventaire « à la Prévert »:
– Vous mettez en valeur, en forme, en lumière dans vos oeuvres des végétaux, qui sont un symbole de vitalité naturelle et d’optimisme : un végétal est un organisme vivant comme un autre, fragile mais résilient, qui doit être aimé, aidé, protégé. Vous contribuez par votre exposition « Le Végétal Sublimé » à sensibiliser le public à l’extraordinaire beauté et richesse de la nature, à l’importance de la préserver, de la respecter, de s’en entourer, plutôt que se confronter à elle dans nos activités humaines;
– c’est très personnel, mais j’ai trouvé vos photographies magnifiques, tout simplement;
– on a vu que quelqu’un comme Jacques Setbon, de l’Agence de Fab’ et du Geste Environnemental, était partenaire, et c’est un sacré tampon de sérieux car Jacques et son associé Vincent sont des gens dotés d’une éthique et de convictions sans faille;
Le Réseau de l’Image, animé par la très dynamique et sympathique Christine Sadrin, est le groupement de professionnels de l’événementiel durable le plus dynamique en France et est partenaire de l’événement: ce qui est à la fois un gage d’éco-conception pour ce dernier, et de qualité de networking pour les invités;
– l’hôtel (mitoyen) Fouquet’s Barrière a mis en oeuvre une véritable politique de développement durable, en la personne de son DAF Jérôme Schehr que j’ai eu le plaisir de rencontrer à l’Agora des Directeurs du Développement Durable, qu’il préside. Il a une vraie vision coûts / bénéfices pour l’hôtellerie de luxe, et fut accompagné par François Tourisme Consultants, définitivement le meilleur cabinet d’accompagnement pour le secteur.

Merci Jeremy !

Brève de vernissage…

Olivier Perrot, photographe : « Je demeure convaincu, comme Dostoïevski, que « seule la beauté sauvera le monde« . C’est notamment ainsi je pense que l’on prendra soin de notre environnement. »

Je ne serais donc pas le seul à le penser !  Je ne connaissais pas Olivier avant le 25 ; magie des rencontres et du partage des idées. Nous avons parlé un peu et regardé beaucoup.

A découvrir : www.photographe-perrot.com

Inspiration à quatre maîtres

Lorsque l’on me demande qui sont mes photographes préférés, … je suis bien ennuyé pour répondre.
En effet, par nature, je ne suis pas «Fan de ». J’aime certaines créations de certains artistes, mais n’ayant pas la connaissance de toutes leurs œuvres et personnalités, il m’est impossible d’en préférer un plus qu’un autre.

En revanche, j’ai eu quatre maîtres, Paul Goirand, Viktor Polson, Arnaud de Wildenberg et Laurent Brémaud. Nous avons échangé, travaillé ensemble. Je peux  trouver mes racines dans leurs démarches respectives.
Des deux premiers, j’ai appris la maîtrise de la lumière en studio et la rigueur d’une production, du troisième la créativité en toutes circonstances à l’extérieur, la maîtrise du cadrage, la réflexion avant l’action, et du quatrième le passage à l’ère numérique.

Bien qu’ayant été parmi les pionniers à utiliser ces nouveaux outils sur des projets très lourds, Laurent a réussi à maîtriser très tôt l’ensemble de la chaîne graphique à un très haut niveau de qualité et sur le long terme. Ses avis me sont précieux, il allie la passion de la technique à l’organisation au service de la création, la sienne et celle des autres.

Une fois l’outil maîtrisé, je trouve l’inspiration dans la littérature, la grande et la petite, dans l’actualité et dans toutes choses qui font sens et que je me fais un plaisir de traduire en images.
Par exemple, j’ai été très impressionné par le voyage de Sonia et Alexandre Poussin. La relation de leurs voyages à travers l’Afrique, à pied, en s’en remettant au hasard des rencontres est une approche de l’autre révolutionnaire (dans le contexte africain tel qu’il est perçu par les Européens), et pourtant tellement traditionnellement simple et naturel.

Ils ont fait confiance à un continent.
Nous en ressortons riches d’humanité.
De l’ensemble de tout ce que j’ai perçu dans ces lignes sortira peut-être une image.
Le temps de la maturation…

Petit nuage…

Voilà, c’est fait !

Flash back.
Mercredi 8h : les derniers préparatifs, principalement les petites choses qui font la différence, les cartels, des indications de prix, l’explication des apports des partenaires, etc… Le clavier chauffe…
Le book ayant été ré-imprimé spécialement, il est nickel. tout va bien.
Finalement, arrivée sur zone à 15h15, déchargement et mise en place. Tous les éléments se montent, chaque partenaire joue sa partition, zen tout va bien.
Quel beau lutrin L’Agence de Fab a réalisé ! Mais… OU est le book ? Horreur ! OUBLIE ! 16h30, plus que 2 heures. Welcome to StressLand. Livraison d’urgence par des amis qui avancent leur venue… Ouf !

18h30 . Tout est prêt. Bonheur. Voir ses images en grand, les unes à côtés des autres, superbement éclairées, dans un lieu d’exception, c’est magnifique. Enfin je peux voir le fruit de ma réflexion, l’application de mes théories.

Et puis vous, le regard de l’autre, vous qui me re-donnez avec vos sensibilités ce que j’ai mis dans ces images et ce que vous y trouvez. Vos remarques me font progresser c’est extra. Le regard triangulaire, je vois un sujet, je crée une image et l’imprime. L’autre la regarde, il y voit quelque chose de différent mais il l’aime. Pourtant nous voyons et aimons la même chose, mais pour des raisons différentes. Etonnant.

Je développerai plus tard, je voudrais remercier particulièrement l’équipe du Bar de l’Escadrille, qui s’est montrée accueillante et compréhensive à l’égard d’un artiste qui a mis tout sans dessus dessous, mes partenaires qui ont œuvré sublimement à la création et la scénographie de l’expo pour un résultat parfait ; sans oublier nos quelques 150 invités avec lesquels nous avons eu le plaisir d’échanger.

Demain, la suite en image…..

Et pour ceux qui regretteraient de n’être venu  ou ceux qui voudraient  les revoir, j’expose à Versailles le 12 juin…

H – …

Ce soir, c’est le grand soir, celui de mon exposition au Fouquet’s, dont je vous parle ici et ailleurs depuis un mois !
Je suis en plein dans l’excitation, l’effervescence des derniers moments. S’occuper l’esprit, ne pas laisser place au doute (« et si… », je vous laisse imaginer !). Se concentrer. Vérifier, re-vérifier…

Dans quelques heures, j’espère avoir le plaisir de vous compter parmi mes invités. Je m’en réjouis par avance. J’espère que mes images susciteront « quelque chose » en vous…

Le photographe connaît l’émotion des instants : celui de la capture de l’image, celui où elle se révèle parmi les autres au moment de la sélection puis du développement, celui où elle sort de l’imprimante.
Et enfin, celui de la confrontation au  regard de l’autre. Et le plaisir du partage, de l’échange quand le spectateur  la découvre pour la première fois.

Ce moment-là, j’espère le vivre de multiples fois ce soir, en vous regardant regarder…

Et comme trois heures sont trop courtes, vous pourrez voir l’expo sur le net à 18h30 😉

Interview : Didier Roux, GPLHost Service France

Didier, pourrais-tu nous décrire les activités de GPLHost Service France?
Toute société doit être présente sur Internet, grâce à des serveurs hébergeant des sites Internet, emails, etc…, pour distribuer et partager de l’infomation et des applications diverses. GPLHost fournit l’hébergement de ces serveurs. Les serveurs sont répartis autour de la planète : Seattle, Tampa, Londres, Paris, Barcelone, Milan, Haïfa, Singapour, Kuala Lumpur, Sydney. Je fournis en plus l’aide pour mettre en place ces solutions.

Comment ton activité prend en compte le développement durable ?
En développant l’Internet. Cela économise des déplacements et le papier. Par exemple, notre comptabilité pour l’Europe est sur un serveur partagé situé à Londres, toutes les factures et documents comptables sont scannés et déposés sur ce serveur pour être partagés par l’équipe située aux antipodes et la comptabilité.

Quels sont les particularités de GPLHost?
Une équipe internationale et des clients sur 4 continents, dont une présence en Chine. Le logiciel phare DTC a été traduits en treize langues. Grâce à notre engagement dans le mouvement Open Source, nous avons le support actif de centaines de professionnels qui participent au développement et à la qualité. GPLHost signifie General Public Licence Hosting.

Quel est l’apport de GPL Host dans le projet de l’exposition ?
Alors que toi tu n’exposeras que sur quelques mètres carrés, à 18h30 ton exposition sera visible, via ton nouveau site, dans le monde entier. Une autre dimension, plus vaste, qui durera plus que le temps d’une fleur. Plus sérieusement, nous te fournissons tout le support Internet, hébergement, conseil et veille technologique. Il ne te reste qu’à créer. Nos services sont bien adaptés à des projets comme le tien. Tes images sont demandées dans le monde entier, elles seront donc disponibles rapidement partout. Cela rapproche tes clients.

Combien ça coûte ?

Avez-vous une idée du coût d’un tirage d’art ? J’ai déjà entendu : « Ce n’est quand même qu’une fraction de seconde et un bout de papier, je pourrais faire la même chose… »  Alors permettez-moi de vous éclairer.
Comme pour toutes choses, il entre dans la fabrication des images différents éléments palpables que l’on peut évaluer… et l’impalpable.

  • Les outils : c’est le choix personnel de chaque artiste. Le mien est d’utiliser les meilleurs outils, l’ensemble de ma chaîne graphique est au top, en permanence mise à jour. La formation du bonhomme également. C’est primordial pour en tirer le maximum.
  • Les fournitures : comme Jacques Setbon et Didier Séjourné l’ont évoqué, les supports et techniques d’impressions sont issus de recherches très poussées, pour obtenir des rendus haut de gamme.
  • Le TEMPS : de la recherche, de l’idée, de l’écriture, de la maturation, de la mise en forme, de la création, de la production, de la post-production, du tirage des premières épreuves, des n°0, de la rencontre de l’autre puis du public. Cela ne se fait pas en un jour.
  • La CONSTANCE : faire une bonne image est une chose. Travailler un thème, l’épuiser, en sortir le sens et le sel, c’est un parcours, une vie.
  • La mise en œuvre : l’exposition du 25 mai, alors que les images existent, représente 60 jours de travail ; organisation, contacts, communication, conception de la scénographie, production des tirages grand format etc… Sans ce travail l’œuvre ne vit ni n’existe.
  • Le fil rouge : qui est au tout début et doit se retrouver à la fin ; la démarche artistique. Simplement 30 ans de métier, d’expériences, de réflexions. Savoir si ma vision est partagée, seul le public peut le dire…
  • L’impalpable : c’est l’émotion que vous ressentirez à la vue d’une image, celle qui se gravera dans votre mémoire, vous ne pourrez plus vivre sans :-)… Ou alors il ne se passera rien :-(. Hasard des sensibilités, diversité des personnalités.
  • Tirage limités : toutes les images présentées sont tirées en 25 exemplaires, maximum, tous formats et supports confondus, numérotés de 1 à 25, signés avec certificat d’authenticité. Plus cinq n°0, épreuves d’artiste, constituant l’exposition que vous voyez.
  • Les formats : de base ; 100×150, A1(60×80), A2 (40×60). Ils varient en fonction des images et peuvent être personnalisés légèrement.
  • Les supports : mardi, seront présentées des images imprimées par sublimation sur tissu et en jet d’encre sur papiers Beaux Arts  Canon ou Hahnemülhe. L’apport émotionnel changeant en fonction du support, certaines images peuvent être réalisées sur bois, verre ou aluminium, à la demande.
  • Unicité : support, format, personnalisation sont autant de variables rendant unique chaque tirage.

Voilà la somme de travail qui rentre en compte dans le prix d’une œuvre et qui permet à l’artiste de continuer à vous chatouiller les pupilles.

Encourager l’artiste : me doutant bien que 25 élus frustreraient la multitude ;-), je propose des cartes deux volets, cartes simples et signets. Leur concept est de focaliser l’attention sur un détail tout en ayant une vue d’ensemble. Cela permet de partager avec l’artiste le plaisir de l’émotion, d’en garder le souvenir. Pour quelques euros vous le soutenez dans sa démarche. Attention, ces cartes ne sont disponibles que lors de l’exposition, en tirages aléatoires restreints sans garantie de ré-édition. Un livre est en cours de création mais pour ceux qui préfèrent le web, il y a toujours ce blog et le site www.nrdb.net qui ré-ouvrira le 25 à 18h30…

Interview : Didier Séjourné, Canon France

 

« Kyosei », c’est la philosophie du groupe Canon dont le Développement Durable est une composante essentielle, de la conception jusqu’à la fin de vie des produits.

La norme 14001  et le partenariat depuis 1998 avec le WWF témoignent de la préoccupation environnementale de Canon.
Ce préambule pour expliquer que Canon, pour moi,  n’est pas seulement et naturellement un partenaire technique : nous nous retrouvons sur des valeurs communes.  Didier Séjourné, Chef de Produits – Marché Arts Graphiques (au sein du Département Marketing Produits Pro) qui, avec Jean-Jacques Archambault, a été extrêmement réactif sur mon projet.  Je les en remercie !  

Didier, vous avez une longue expérience de l’impression jet d’encre, pourriez-vous nous faire un point sur cette technologie ?

Il faut rappeler que Canon est l’inventeur de la technologie jet d’encre, technologie à maturité depuis 2004, pour fournir des tirages de qualité « art graphique ». Depuis, de génération en génération, la qualité s’améliore avec un élargissement permanent de  la gamme de couleurs retranscrites. Cela apporte des couleurs plus profondes, des dégradés plus fins, une gamme de gris plus large pour des images noir et blanc très riches, aux noirs plus intenses, et des images couleurs nuancées. Avec notre dernière génération de machines, la gamme des couleurs est étendue de plus de 20 % par rapport aux modèles précédents, c’est énorme.

Quand on pense beaux arts, on pense pérennité, pouvez-vous garantir  la longévité de vos tirages ?

Aucun fabricant ne peut garantir une « durée de vie » d’un tirage. Trop de paramètres entrent en ligne de compte. Cependant, les tests effectués sur nos produits par des laboratoires indépendants estiment la durée de vie d’une impression de 80 ans à beaucoup plus, en fonction des conditions de stockage. Nous sommes donc pleinement éligibles aux tirages beaux arts. Mais si vous me parlez de pérennité, sachez que nous pensons aussi à la planète : nos nouveaux systèmes sont plus économes en encre et en emballage.

Vos imprimantes ne donnent le meilleur qu’avec le papier Canon ?

Non, le choix d’un papier est très personnel pour un artiste, puisque cela a une incidence directe sur le rendu. Chez Canon, dans notre gamme beaux arts, nous avons un mat lisse de 250gr, dont vos invités pourront apprécier le rendu le 25 mai, puisque vous l’avez choisi pour vos tirages A1. Tirés sur notre dernière génération de machine commercialisée depuis avril, c’est tout nouveau. Mais tous les papiers beaux arts, comme le Hahnemühle que vous utilisez pour vos  formats A2, fonctionnent parfaitement.

Qu’est-ce qui vous a incité à devenir partenaire pour l’exposition du 25 mai ?

La qualité des tirages que vous nous avez présentés, qui montrent une maîtrise de la post production. Des fichiers bien préparés constituent un excellent exercice pour nos nouvelles machines. Le thème abordé rejoint notre philosophie, le moment est bien choisi, tout cela est cohérent… Je ne vous parle pas du côté artistique qui ressort, mais c’est certainement parce que vous utilisez un appareil Canon pour la prise de vue ! (rires )


Interview : Michel Soyer, Marquise Events, organisateur des Fouquet’s Tuesdays

Michel Soyer, vous accueillez mon exposition au Fouquet’s le 25, pourriez-vous nous dire quelques mots sur Marquise Event et votre aventure avec ce prestigieux établissement ?
La direction du Fouquet’s souhaitait faire redécouvrir aux Parisiens ce lieu mythique et monument historique classé. Nous avons proposé de remettre au goût du jour le « café society » des années 30. Ces cafés littéraires où les artistes de toutes disciplines venaient présenter leurs œuvres et rencontrer le public simplement. Tout le monde peut pousser la porte, l’entrée est gratuite et les consommations ne sont pas obligatoires. Plaisir des yeux et échanges informels avec les artistes (peintres, écrivains, sculpteurs, photographes…), les amateurs d’art et les habitués des lieux. Melting pot artistique, au cœur de la plus belle avenue du monde,  le  Fouquet’s  participe à la vie  parisienne par la diversité des expressions qu’il révèle.

Marquise Event  travaille à faire connaître les pays de l’Est et leurs cultures. Quelle est la raison de votre implication et les événements à venir dans ce cadre ?
Depuis 20 ans Marquise Events organise des événements haut de gamme et des soirées de prestige  pour des grands comptes, des institutions et notamment des ambassades.
Par affinité, je me suis penché sur l’histoire et la culture  des pays de l’ex bloc soviétique qui sont d’une grande richesse. Il y a aussi de leur côté un grand désir de culture française. Il y avait donc un pont à rebâtir. Chaque année un pays est à l’honneur, cette année la Serbie et la Géorgie. La jeunesse de ces pays veut se tourner résolument vers l’avenir. L »art contemporain, la mode, le cinéma mais aussi une production à forte valeur ajoutée, nous aident dans cette tâche de reconnaissance mutuelle.

Qu’est-ce qui vous à poussé à choisir mon travail pour le 25 mai ?
Mise à part la qualité des images que vous m’avez présentées, votre thème « Le Végétal sublimé » est en parfaite résonance avec l’actualité des Champs Elysées. Votre exposition intervient comme un point final à ce grand week-end végétal, une conclusion effervescente et positive. C’est ce qui ce dégage de votre travail, vous nous faites aimer les fleurs et donnez envie de protéger les champs !